Bobo, c’est l’acronyme de « Bourgeois-Bohème », terminologie choisie par le journaliste américain David Brooks du New-York Times, afin de définir la génération montante « made in US »Il est plaisant de remarquer que ce mot n’a pas de féminin.le bobo ne fait jamais comme tout le monde : Il fustige la mode, mais file directement chez Gap ou Zara trouver le vêtement vrai-faux-chic et décalé qui lui permettra de se faire quand même remarquer (il ne manquerait plus qu’il passe inaperçu !).En vacances, ne chercher pas le bobo dans les lieux branchés si peu originaux : Notre homme préfère retaper une vieille ferme dans le Poitou plutôt que de s’exposer aux flashs de la jet-set.Il parle écologie, trou de la couche d’Ozone, ne porte que des matières naturelles tout en abusant dans le même temps de toutes les technologies de la Silicon Valley. D’ailleurs, il se surveille et veille à bien entretenir un certain flou concernant son art de vie. Détenteur selon lui des vérités indubitables chères à Descartes, le bobo suit consciencieusement « sa » méthode… A croire qu’il n’est toujours pas sorti de la caverne ! Exemple concret : pour lui, seul les parvenus se ruinent en produits de luxe. Les personnes cultivées ne se ruinent qu’en choses essentielles. C’est l’investissement dans le matériel qui compte, mais ne lui faîtes pas remarquer, il ne vous croirait pas.Question idéologie, le Bobo est très « open » : Contre le racisme, pour le droit d’adoption des homosexuels, pas macho… Toutes nouvelles idées est bonne à prendre et à exploiter.Un point marquant de son éducation est son culte de la forme naturelle
bonjour! j'aime beaucoup ton blog, c'est hyper-cool avec la carte postale!:)
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